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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 20:44

L'énergie


Autre exemple de cette centralisation à tout prix, la production d'énergie.


Lorsque l'on parle d'électricité, il ne viendrait à l'idée de personne de croire que cette précieuse énergie puisse venir d'ailleurs que d'une centrale ! On centralise même les centrales en regroupant, par exemple, plusieurs réacteurs nucléaires sur un même site de production. Chacun se laissera facilement convaincre par l'argument imparable de "l'économie d'échelle". Et chacun est prêt à accepter la croissance exponentielle du risque, qu'il soit un simple risque de rupture de la production ou qu'il soit, comme ce pourrait être plus dramatique, celui de l'accident, qu'il faut bien considérer comme non-nul, même pour une centrale à gaz, comme démonstration vient d'être faite avec l'explosion d'une centrale aux Etats Unis.


Il est pourtant facile d'imaginer que plus l'unité de production sera petite, plus le nombre de clients concernés par un éventuel problème de production sera limité ! Facile aussi de reconnaître que plus la bouteille qui explose est petite et moins les dégâts seront importants ! Mais, cette "centralisation" est tellement inscrite dans nos habitudes, que l'on s'applique maintenant à "centraliser" des éoliennes dans des "parcs éoliens" ou des capteurs solaires en "fermes de production solaire", sans que personne ne s'étonne que ces sources d'énergie, pourtant bien réparties sur le territoire ne soient exploitées qu'avec de disgracieuses et encombrantes concentrations de matériels "centralisés".


Et la question n'est pas épuisée à ce point de la démonstration puisque une fois produite, cette énergie devra être transportée. Dans le cas de l'électricité, une perte non négligeable est subie lors du transport. Alors, pour limiter la perte et employer des câbles d'un diamètre raisonnable, on élève la tension (*), ce qui impose, pour permettre leur isolation la plus économique, des lignes aériennes montées sur d'immenses pylônes dont on connaît la fragilité dans de nombreux cas d'intempérie et dont l'esthétique est pour le moins discutable !


Pourquoi donc ne pas favoriser la production locale en construisant des bâtiments systématiquement couverts de "récupérateurs" d'énergie solaire (chaleur ou électricité) et en répartissant la production éolienne d'une manière plus "saupoudrée" ! Dans certains pays nordiques, le problème a été pris par le "bon bout" en permettant aux habitants d'investir directement dans la construction de leurs éoliennes et en participant au financement de leur entretien. Mais peut-être craint-on de ne pouvoir conserver un contrôle suffisant des moyens de production et des taxes qui leur sont associées ? Cet argument ne tient pas vraiment car, de toute manière, l'état sait très bien percevoir les taxes qui lui reviennent, il lui est inutile de recourir au centralisme pour se garantir les revenus qui lui sont nécessaires !


La production pourrait alors se présenter comme un maillage plutôt que comme des étoiles interconnectées. Ce nouveau schéma serait beaucoup moins fragile puisque la rupture d'un point de croisement ne pèserait pas bien lourd dans le schéma de l'ensemble. De plus, les lieux de production étant plus proches de ceux de la consommation, le transport serait moins problématique. Les risques d'accident se trouveraient réduits et l'emploi des personnels chargés de produire bien mieux réparti sur d'ensemble du territoire. Autant d'avantages dont devraient profiter ceux qui croient aujourd'hui détenir les clés de leur fortune en imposant la centralisation !!


(*) La règle P=U2/R indique que la puissance perdue en ligne dépend de la tension et de la résistance. La résistance dépend de la section du câble. Mais pour des questions mécaniques et économiques, il est préférable de limiter le plus possible la section des câbles. Alors, il ne reste comme solution, pour augmenter la puissance transportée en limitant les pertes en ligne, qu'à augmenter la tension. On arrive de nos jours à plusieurs centaines de milliers de volts (400 000 volts pour les lignes de transport) on pense même au million de volts dans certains cas (Sibérie...).

 

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22 février 2010 1 22 /02 /février /2010 23:16

La ville


La ville, dont il était question plus haut, n'est-elle pas un exemple type de cette "centralisation". Dans son principe, qui songerait un seul instant à contester son utilité, sa justification, son caractère indispensable ? Personne, bien sûr ! Surtout pas tous ceux qui, profitant du système, appuient leur pouvoir et leurs intérêts sur ce type d'organisation ! Enfin, ce qu'ils pensent être leur "pouvoir" et ce qu'ils croient être leurs "intérêts", car il semble que d'autres schémas puissent produire des résultats au moins comparables et probablement même plus rentables, tout en respectant mieux l'ensemble de l'humanité et son environnement.


Dans le cas de la ville, la démonstration de l'utilité de la centralisation est assez facile à décliner pour ceux que cela arrange. Mettre en commun, pour les rentabiliser, des infrastructures coûteuses est par exemple un avantage immédiat et facile à comprendre qui suffirait presque à lui seul à justifier la centralisation. Il convient toutefois de se poser la question de savoir si les avantages certains de cette centralisation contrebalancent réellement les inconvénients immanquablement produits par la concentration qui découle de cette centralisation.


Mais cette organisation centralisée est complètement aberrante puisque l'on centralise les moyens de production à des endroits différents de ceux où l'on centralise les ressources comme par exemple l'habitat de la main d'œuvre chargée de produire ! De même, on centralise des services loin des concentrations d'habitants ! Et quand le service se situe à proximité, il est rendu inaccessible par la saturation des voies de communication utilisées pour une circulation inutile ! Comment admettre que telle ou telle grande ville, qui abrite tant de commerces, de bureaux, de services et autres facilités, ne dispose plus de l'hébergement nécessaire ou accessible aux citoyens, travailleurs, enfants ou retraités, qui, de ce fait, doivent gaspiller de nombreuses heures dans des transports aléatoires, dispendieux et exténuants, qu'ils soient publics ou privés ? Quelle productivité peut-on attendre d'un salarié qui a passé des heures dans les embouteillages pour parvenir à son poste de travail ? Ce même salarié, qui ne pourra pas disposer des infrastructures avantageuses de cette centralisation puisqu'il n'est pas domicilié au cœur de la concentration mais rejeté sur sa périphérie ! Quel client trouvera son intérêt lorsque pour rendre visite à un commerçant il devra passer des heures dans des transports mal-pratiques tant pour aller que pour revenir ? Tout ceci, bien entendu, trouve son couronnement lorsque l'on mesure le gaspillage d'énergie et la pollution engendrée par des transports qui en ce début de 21ème siècle ne sont pas plus rapides (et même peut-être plus lents) qu'au début du 19 ème ! Bien des avantages sont ainsi payés le prix fort. 


Par hypothèse, on peut penser que nombre des problèmes, évoqués plus haut ou non, pourraient être atténués par une organisation différente. En quelques décennies il semble possible de passer d'une structure centralisée à une structure répartie. Dans ce type de disposition chaque espace de production, chaque surface commerciale, chaque système de services serait de dimensions limitées. Des espaces réservés à l'habitation seraient réservés en quantité correspondant au plus juste avec les besoins de main d'œuvre et les services. Ces espaces d'habitation seraient disposés à une courte distance des autres structures de manière à permettre un accès rapide fiable tant aux zones d'emploi qu'aux zones de services. Le fonctionnement d'un tel système ne peut être garanti que si l'on considère que la complétude des structures est assurée. Les déplacements des habitants seraient ainsi limités, tous leurs souhaits étant satisfaits sur-place. Le gain de productivité obtenu par les employeurs devrait être significatif par l'amélioration des conditions de vie personnelle des travailleurs. Les taux de l'emploi devrait se trouver lui aussi amélioré, conditionnant une sensation de bien être des citoyens.


Il ne s'agit pas, dans ce projet, de tout raser pour recommencer, mais de favoriser et promouvoir l'aménagement de l'existant et construire l'avenir dans un esprit différent de celui qui est principalement basé sur le centralisme. Comme il sera possible de le voir plus loin, nombre d'exemples ayant abouti à la réussite peuvent déjà être cités. Il suffit de s'en inspirer pour projeter les espaces de vie et d'activité qui replaceront nos villes trop centralisées d'aujourd'hui.

 

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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 20:23
Introduction


Nul besoin d'être docteur en sociologie pour constater que la santé de notre société est chancelante !


Les causes de ce malaise sont diverses et infiniment nombreuses. Depuis le désir de bien-être, en passant par la volonté de bien-paraître jusqu'à l'ivresse de la domination des autres et la coupable avidité des biens et des moyens, bien des travers humains peuvent avoir des effets nocifs perturbant le fonctionnement d'une société par ailleurs bien fragile. Mais ces travers ne peuvent s'exprimer que si l'organisation de l'environnement des individus le permet. Ils ne surgiront que si la culture et les coutumes en facilitent l'apparition et le développement. Ils ne progresseront que dans un terreau favorable. La société de communication sera la terre fertile qui garantira la croissance rapide de ces défauts, promus au rang de mode de vie incontournable. La contamination de l'ensemble des individus sera ensuite fonction de l'occultation des réalités et de la promotion de fausses valeurs. Mais, bien entendu, tout n'est pas si sombre. Nombre de problèmes sont souvent dus à des erreurs de conception de notre société ou à de véritables bonnes idées dévoyées !


Ignorant volontairement ceux des dirigeants dont les intentions ne seraient pas uniquement orientées vers le bien-être de leurs compatriotes, il est facile d'observer que les solutions envisagées pour résoudre nos problèmes, qu'ils soient anodins ou profonds, sont souvent de nature pré-fabriquée et de ce fait, manquent d'efficacité. Il est facile, pour s'en convaincre, de faire quelques pas dans n'importe quelle ville importante pour constater que l'ensemble du système est inadapté, saturé, inhumain, invivable, insalubre, stressant, traumatisant....


Pourtant, la solution de la ville pouvait paraître séduisante. Rassembler en un seul lieu toutes les facilités, tous les services, toutes les activités, toutes les industries, tous les ministères, toutes les énergies, tous les humains, semble être la suprême optimisation conduisant à l'absolu modernisme. Force est de constater que la solution de la concentration urbaine n'est pas la panacée qui pourrait nous permettre d'atteindre ce " nirvana " moderne tant désiré !


Par ce décevant constat, on pourrait être fataliste et penser : "...alors, il n'y a rien à faire " ! Bien au contraire, il faut décider que tout reste à inventer ou à ré-inventer ! Même s'il est illusoire de penser que tout pourrait se faire facilement, par quelques actions bien orientées, on peut tout de même nourrir l'espoir qu'en quelques générations, nombre de soucis majeurs pourraient être maîtrisés.


Ainsi, il est probable que bien des choses pourraient changer si l'on pouvait prendre la mesure des problèmes d'une manière objective. Avant de décréter telle ou telle action ou correction, il faut s'armer d'optimisme et de patience, et, pour conserver une quelconque chance de résoudre les problèmes, tenter d'identifier la nature des sujets les plus importants. Chacun peut facilement isoler de grands thèmes qui pourraient représenter une base de travail. Comme les sujets sont assez nombreux, il est pratique de procéder, comme on le ferait en parcourant un arbre généalogique, depuis le sujet en allant vers son origine de manière à isoler des grands thèmes.


Parmi ces grands thèmes il en est un qui semble tellement évident que plus personne aujourd'hui ne le voit plus. Il est la base de très nombreux dysfonctionnement de notre société. Il représente pourtant une prétendue condition incontournable que bien des dirigeants entendent défendre contre vents et marées, y trouvant probablement leur compte, ignorant ainsi toute autre voie qui pourtant pourrait donner satisfaction à toutes les parties en cause.


Ce thème est " Centralisation " !


C'est un thème parmi d'autres, bien entendu, mais qui semble tellement universel et tellement incontesté qu'il paraît utile d'en faire une analyse plus avancée.


La centralisation, simple mot, vaste problème !



Un simple mot, qui pourrait paraître bien inoffensif, mais qui se trouve représenter la base compacte et se voulant indiscutable et incontestable de tout un système d'organisation de la société humaine. Chacune des observations faites plus loin paraissent si évidentes que personne n'identifie plus les inconvénients relatifs à ce mode de fonctionnement.

 

 

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 18:24
La fin de cette série était bien rassurante sur l'avenir.

Il convient tout de même de ne pas oublier que les artistes de ce niveau ne sont pas forcément légion.

Voyez et écoutez plutôt l'oeuvre qui se cache derrière ce lien....

    



 

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28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 19:08

Après cette promenade dans notre monde d'il y a cent ans,
pour terminer cet homage à Django,
comme les jeunes candidats à la succession ont été évoqués
dans les commentaires, voici une petite vidéo
qui en dit long sur le niveau des héritiers...



Il est à souhaiter que ce jeune trouve son propre chemin !
Il a, je crois, tout ce qu'il faut pour y parvenir...

Décidément, même si tu nous a quittés un peu tôt,
ton passage a marqué ton temps
et les traces de tes pas resteront
certainement pour longtemps
un guide pour les générations futures !


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28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 18:41
Continuant notre promenade pour fêter les 100 ans de Django,
voici les deux roues que l'on pouvait apercevoir alors :

En motorisant un vélo...

1907_Deronziere.jpg

Quatre cylindres pour plus de souplesse et de puissance...




1910FN.jpg

Ou bien deux cylindres pour la simplicité ...



1911_Douglas.jpg

Un seul cylindre mais à longue course...


1911_Indian.jpg


Et, un peu plus tard, le style italien vint s'ajouter à la mécanique...



La_premiere_Moto_Guzzi_de_serie_1921.jpg

Imaginez vous au guidon d'un de ces bolides pétaradants ! Il fallait une bonne dose de témérité car ils roulaient pratiquement tous à près de 100 KM/H et même plus pour certains modèles !

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24 janvier 2010 7 24 /01 /janvier /2010 17:28
Il y a seulement cent ans, mises à part les voitures à chevaux, un promeneur pouvait croiser ces monstres de puissance et de vitesse :

1Renault

Cette deux places de chez Renault, avec ses 402 cm3 dépassait les 10 Km/h !

1Fiat

Chez Fiat, on avait opté pour quatre places. Mais il fallut un moteur beaucoup plus gros : 697 cm3 pour obtenir les 3,5 chevaux nécessaires...

1Napier

Cette Napier laissait déjà prévoir le luxe des voitures de sport. Son moteur comportait six cylindres !

Et comment resister à celle-ci :

type13_1910.jpg
Personne ne peut contester le génie d'Ettore Bugatti !

Secondé par son fidèle compagnon, Ernest Friedrich qu'il a connu à l'époque de son association avec Mathis, et par quelques dessinateurs de l'ancien bureau d'études de Deutz, Ettore Bugatti commence la construction des Type 13 à partir de 1910. Ces voitures dérivant du Type 10 seront en constante évolution jusqu'à l’arrêt de leurs fabrications en 1926 (pour le Type 13, 1914 pour les Types 15 et 17) après que plus de 400 exemplaires furent réalisés.

Pour parvenir jusqu'à nous, ce nouveau moyen de transport s'est progressivement transformé...

1DeDion

Il fallut aussi passer par là :

1Corvair.jpg
Je n'irai pas au delà des années 60 car ce serait un autre sujet.

Toutefois, une fois n'est pas coutume, je tiens à féliciter le publicitaire qui a réalisé un superbe travail pour la marque Peugeot.


Voici, pour ceux qui ne l'auraient pas encore vue, l'histoire de la maison Peugeot vue par un véritable artiste, et telle que j'aurais tellement aimé être capable d'imaginer et de réaliser !

 

 

Le chemin nous parut long, bien que cent ans ne soient qu'une courte étincelle dans l'interminable lumière des temps.


Mais quels seront donc nos moyens de transport

dans cent ans !



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23 janvier 2010 6 23 /01 /janvier /2010 19:02
Il y a cent ans...

Ce qui représente un peu plus du temps qu'un homme ou une femme d'aujourd'hui peut prétendre vivre !

Voici à quoi ressemblaient les avions de cette époque.
Bleriot
Curtiss
Farman

Il n'y a qu'à les comparer à ceux qui sillonnent notre ciel et tenter d'imaginer les appareils qui parcoureront notre ciel dans cent ans !!

Notre imagination sera-t-elle meilleure que celle de nos grands pères ?

Voici comment ils "voyaient" les années 2000 :

Aviation--2000.jpg
Etonnant non!


Mais, les voies aériennes seront-elles
encore nécessaires dans cent ans ?!



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22 janvier 2010 5 22 /01 /janvier /2010 21:41
Il y a cent ans naissait un grand homme.
Très simple.
Très grand.
 Très souriant.
Heureux de jouer avec les notes.
Sans même savoir les écrire ou les lire,
il les connaissait,
les apprivoisait,
les domptait,
les charmait,
les illuminait.

Il a enchanté la plus grande partie de ses contemporains.
Il a imposé un style. Un virage définitif dans la musique.
Il continue a inspirer nombre de musiciens aujourd'hui.

Django.jpg

Même s'il nous a quitté en 1953, il nous berce encore tous les jours de ses accords si rythmés et tellement particuliers.

Je ne dirais donc pas Django aurait eu 100 ans mais...
"Il a 100 ans !"

Voici un titre assez ancien et peu connu...

A suivre ...

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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 09:58

darwin.jpg

 

Darwin avait raison !


S'il en fallait des preuves, ce qui suit devrait finir de convaincre les septiques :


Un raccourci résume sa théorie en une petite phrase lapidaire :


« l'homme descend du singe ».

 


Voici donc la preuve de cette affirmation :


Les américains, pour préciser qu'ils parlent d'un cours d'eau, ajoutent systématiquement « river » au nom de ce cours d'eau. Par exemple ils disent « The Hudson river » ou « The Mississipi river ». Libre à eux,  vu de leur côté de l'océan et avec leur langue, cette précision est peut-être nécessaire. Pourquoi auraient-ils tort et s'en priveraient-ils ?!


En France, nos moulins à paroles, très appliqués à singer nos voisins d'extrême-occident, ont décidé qu'il serait sans doute très élégant d'appliquer les mêmes règles à la langue française. Ainsi on peut souvent entendre des phrases du style :

« … tombé dans la rivière Oise... » ou « ...parti pêcher dans le fleuve Garonne... ».

 

Il n'y a dans cette forme, aucune faute d'orthographe ni de Français, mais, il n'est pas inutile de préciser à nos chers moulins, que les Français savent très bien identifier une rivière ou un fleuve en entendant simplement son nom. En Français, la précision se fait, le plus souvent, lorsque l'on évoque un département portant le même nom qu'un cours d'eau. On parlera par exemple du « Département de l'Eure » ou du « département de la Seine ». Toutefois, cette précision n'est même pas obligatoire puisque le contexte de la phrase suffit bien souvent à lever toute ambiguïté.


Ce comportement de nos moulins, voulant, même lorsque c'est inutile ou ridicule, imiter ceux qu'ils considèrent comme LE modèle, est bien identique à celui du singe qui copie les attitudes des hommes qu'il observe. Ce comportement nous a d'ailleurs valu l'expression "singer quelqu'un"...


C'est bien une preuve de l'exactitude de la théorie Darwinienne non ???


Il est, en revanche, un  point qui a échappé à Darwin, c'est qu'après avoir évolué en se différenciant du singe par son intelligence, l'homme régresse maintenant en rejoignant les comportements animaux de nos charmants voisins de branche, par une rapide atrophie de ses capacités intellectuelles !!


Toute théorie peut avoir ses faiblesses

sans toutefois devoir être remise en question !!


 


 

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  • DonQuichutte
  • Passionné de technologie, amoureux de culture et défenseur de la francophonie...
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