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1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 20:25

 

Les analyses, hypothèses étymologiques et autres supputations ne manquent pas pour expliquer le sens et l'origine du caractère très spécial qu'est

 

6.gif

 

Certaines paraissent dignes d'intérêt mais sont fausses,

d'autres paraissent fondées mais sont tout à fait farfelues.

 

Comment faire la part de choses dans tout ce bruit linguistique ?

 

Pour ce qui me concerne, j'ai fait le choix de la proposition que me semble la plus plausible, même si je ne puis proposer aucune preuve de sa véracité.

 

La voici : 

Quant à son appellation graphique, elle est , elle, très française !

Ce sont des imprimeurs bien de chez nous qui ont tout simplement désigné ce caractère par ses éléments descriptifs évidents ‘’a-rond bas (de casse)’’, ‘’bas de casse’’ signifiant minuscule.

On peut aussi expliquer son origine par "a-rond case basse", la case basse étant la boite inférieure dans laquelle les typographes trouvaient les caractères minuscules (en Anglais les caractères minuscules se disent d'ialleurs "lower case..."). Les majuscules étant stockée dans la case haute...


Ce terme est devenu une désignation typographique internationale .


Il ne faut pas oublier en effet que 

le français fut la langue de référence en Europe

pendant au moins deux siècles et que

les typographes étaient, par définition, des ouvriers cultivés.


Les concepteurs d’Internet ont donc gardé ce signe qui continue à être utilisé dans les pays anglo-saxons pour indiquer une adresse de destinataire.


Ainsi, grâce à Internet,

le latin et le français redeviennent des langues d’usage international !!

 

 

 

Bien d'autres thèses peuvent être rencontrées sur la toile. A chacun le droit de se faire sa certitude !!


 

Inspiré par l'article suivant : http://www.arobase.org/culture/arobase.htm

Inmages du caractère trouvées sur la toile...

 


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27 mars 2010 6 27 /03 /mars /2010 10:20

Une solution vraiment très à la mode pour lutter

contre la crise de l'emploi est de promouvoir

les services à la personne.


Le fait que des travailleurs se spécialisent dans ce type de service est en lui même une bonne chose. Il convient toutefois de se garder de la généralisation qui s'opère actuellement. En effet, on constate aujourd'hui la prolifération d'auto-entreprises qui sont très éphémères, ne garantissent aucunement la qualité des interventions ni celle des intervenants qui trop souvent opèrent à la limite de l'escroquerie.


Services_a_la_personne.jpg


Il faut aussi, par ailleurs, dénoncer cette tendance qu'ont les « nantis » de se donner le droit de disposer du labeur des plus fragiles en leur proposant de partager quelques miettes.


Et puis, autre question, lorsque toutes les industries, lorsque tous les emplois à « valeur ajoutée » auront disparu, comment compte-t-on payer ces « services à la personne » ? En gagnant sa vie en exécutant des « services à la personne » ?


Cette idée obsédante fait penser au serpent qui se mord la queue. Elle fait également penser à la très récente escroquerie consistant à emprunter de l'argent pour payer les intérêts versés aux prêteurs...


Pour résumer, en matière d'emploi comme en toute autre, pas de promotion de solution faussement miraculeuse.


Certes les services sont indispensables,

mais point trop n'en faut !!


 

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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 19:24


PICT3555.JPGL'hiver a été froid.

Oui, mais certains oublient
de fermer
la porte du congélateur,
alors...

Heureusement c'est du passé !
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20 mars 2010 6 20 /03 /mars /2010 10:37
Sur les excellentes pages de Maya,
voici ce que nous avons trouvé concernant le stress au travail.
Je ne sais pas si le travailleur qui a réalisé cette page humoristique a été atteint par le dramatique stress qu'il a si bien décrit mais j'ai trouvé que la réalisation vaut la peine d'être vue !!



Le STRESS
Conséquences du Stress au travail !!!







1er Jour

Vous écoutez Stevie Wonder




C'est votre premier jour et tout va bien ...

 

 

 

 

 

 

 





Après 3 mois




Vous écoutez de la «HOUSE MUSIC»,

car vous êtes débordé !


 

 

 

 

 

 

 

 





Après 6 mois....

Vous écoutez du «HEAVY METAL»




et vous commencez à voir double
car vous travaillez de 08h00 à minuit !

 

 

 

 

 

 

 





Après 9 mois...

Vous écoutez du Hip Hop



Vous êtes devenu gros à cause du stress... et vous souffrez de constipation !


 

 

 





Après 1 an...

Vous écoutez du «GANGSTA RAP»




Vous clignotez des yeux et vivez de Caféine!


 

 

 




Après 2 ans ... 

Vous écoutez de la «TECHNO»




Et vous devenez un peu ...

complètement ... Fou ... !


 

 

 

 

 

Et, finalement, au bout de plusieurs années ...


Va prendre des vacances

avant d'être comme cela!


Le site de Maya :


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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 08:36
p-008484-00-2.jpg

Voici une nouvelle extraordinaire !

Nos moulins à paroles publicitaires ont fait des progrès !!





Vous n'en croirez que difficilement vos oreilles. Je me suis pincé pour être certain que j'étais bien éveillé. Hier chacun aura pu remarquer que certaines publicités radiophoniques avaient intégré la liaison avec le mot "Euro".

C'est bien un événement majeur non ? Nos appels auraient-ils enfin été entendus ?

 Bien sûr, comme nul ne peut être parfait du jour au lendemain, même si le "Dix'z'Euros" ou le "Quatre vingts'z'Euros" sont devenus corrects, il reste quelque chemin à parcourir. En effet dans la même page de publicité, il vous sera donné d'entendre "Cent vingt'h'euros". Mais la direction est bonne !!

Et ne croyez pas que ce phonomène soit isolé car plusieurs marques d'automobiles ont effectué cette correction linguistique dans leurs messages publicitaires...

Alors, tant que nos moulins sont en marche pour le progrès, ils devraient bien envisager la suppression de ces ridicules "petites lignes légales" racontées à toute vitesse, complètement indigestes et  particulièrement irritantes !


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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 08:33
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3 mars 2010 3 03 /03 /mars /2010 13:50

L'informatique



L'informatique est, comme l'architecture, un bon exemple de retour en arrière depuis une centralisation quasi totale vers une répartition plus homogène.

Dès son apparition, l'ordinateur fut conçu comme une machine énorme, ne pouvant qu'être centrale, pour être mise à la disposition de nombreux utilisateurs. La puissance de calcul, la normalisation des programmes et le stockage des données ne pouvaient être imaginées autrement. Les "unités centrales", ce fut leur nom pendant longtemps, ont donc grossi progressivement et leur puissance a été accrue dans des proportions inimaginables.

Les programmes ne dérogeaient pas à la règle. Leur algorithme, partant d'une boucle principale, se déroulaient par branches issues d'un point commun. Il fallait, pour passer d'une branche à l'autre, revenir au nœud central pour emprunter un chemin voisin. La mémoire, elle aussi était "centrale". C'était le meilleur moyen qui garantisse la possibilité de partage des informations entre plusieurs applications ou utilisateurs. Les utilisateurs accédaient chacun leur tour aux ressources de calcul ou de stockage, mais la vitesse avec laquelle cet enchainement d'accès était opéré donnait une impression de simultanéité. Au lieu de multiplier les matériels, on divisait le temps. Inconvénient majeur de cette solution c'est la catastrophe inévitable qui survient pour tous les utilisateurs en cas de problème !


A l'avènement de la micro-informatique, le chemin était donc tout tracé. L'unité centrale devenait plus petite mais restait centrale. Elle était chargé de toutes les tâches du système. Depuis le plus petit affichage jusqu'à la gestion des entrées-sorties. Le processeur était tellement centralisé qu'il passait la plus grande partie de son temps sur des actions banales comme le rafraichissement de mémoires dynamiques l'affichage de chaque pixel ou la scrutation de clavier !

Rapidement, on prit conscience de cet excès de centralisation et on distribua des seconds rôles à des acteurs périphériques pour réserver les réelles compétences du processeur à des tâches plus nobles. On vit ainsi apparaître les processeurs de gestion de clavier, de traitement vidéo, de contrôle d'entrée-sortie, de communication Etc. Le processeur "central" se vit même affecter un adjoint, le processeur mathématique... Ce premier pas vers la décentralisation aboutit rapidement aux micro-ordinateurs tels que nous les connaissons aujourd'hui dans lesquels même le processeur central comporte plusieurs noyaux.

Aujourd'hui, la programmation "objets" permet de sauter sans problème d'une branche à l'autre sans ne rien perdre des données collectionnées, de remplir un formulaire dans n'importe quel ordre, et même d'exécuter plusieurs occurrences d'un même processus sans mélanger les données de chacun ! Ce qui n'empêche pas un sous programme de pouvoir hériter des caractéristiques, propriétés ou données d'un autre pour optimiser la taille du code...

Mais le chemin n'était pas terminé. Un grand nombre de ces machines étaient employées comme "terminal intelligent", connectées à un ordinateur central. Irremplaçable, disaient certains ! Les réseaux étaient donc constitués de branches en étoile, aboutissant toutes au roi des rois, le central !

Bien heureusement, quelques "fous" ont imaginé d'autres solutions et celle qui se nome "structure maillée" prit vite le pas sur toutes les autres et Ethernet puis Internet vinrent redistribuer les cartes. Dans ces structures, tous les participants représentent un "poids" équivalent même si chaque nœud peut être spécialisé dans des tâches particulières.

L'augmentation de la puissance de calcul de chaque micro-ordinateur fit le reste pour que l'on trouve de moins en moins de mastodontes centraux, ce qui contribue au fait que l'on entend de moins en moins "C'est la faute de l'ordinateur du siège...".

Voilà un modèle qui, parti d'un centralisme obligé, après quelques décennies est devenu complètement distribué, pour le plus grand profit de tous ses utilisateurs. Ce profit est également partagé par les fournisseurs qui ne manquent pas d'y trouver leur compte !!



Pourquoi ce qui est valable dans ce cas

serait impossible dans beaucoup d'autres ?

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 22:17

L'agriculture


On pourrait croire l'agriculture à l'abri de ce raisonnement centralisateur.


Mais il n'en est rien !


La seule entreprise agricole qui aujourd'hui soit considérée comme viable doit absolument regrouper la surface la plus importante possible ou comporter le plus grand nombre possible de têtes de bétail. Normal, diront les "spécialistes". Pour "faire" de l'argent, il faut investir dans de couteuses machines qu'il faut bien rentabiliser.


Et la course à l'échelle est là aussi lancée !


Puisque j'ai acheté une grosse machine, je peux posséder plus de terres. Je possède beaucoup de terres, il me serait utile de posséder une plus grosse machine... C'est ainsi que nombre de petites entreprises agricoles se sont vues prises au piège du cercle vicieux et infernal de la course à la production pensant très honnêtement que c'était la seule solution.


C'était en effet la seule qui leur était proposée, conformément à l'intérêt de quelques marchands, prisonniers eux aussi ce cette culture du chiffre chère aux centralisateurs ! Certes, la production ayant augmenté, les revenus se trouvent augmentés eux aussi, mais, souvent insuffisamment pour assumer le remboursement des crédits nécessaires à l'évolution et faire face aux frais, eux aussi proportionnels à l'échelle ! Alors, le nombre des petites entreprises agricoles ne cesse de diminuer, entraînant la diminution du nombre des emplois, entrainant la désertification des campagnes, entrainant la surpopulation et la centralisation dans les villes.


Certains auraient pu penser que la centralisation en agriculture pouvait être créatrice d'emploi, de richesse, de confort, de sécurité, bref de tout ce que peut promettre la perspective d'une organisation d'avenir. Là comme ailleurs, la démonstration du contraire est sans appel. Tous les résultats vont à l'opposé de l'objectif. Seuls quelques individus parviennent en s'appuyant sur des méthodes contestables, à survire et quelquefois à prospérer. Mais leur nombre est extrêmement limité si l'on lui oppose celui des échecs, faillites, abandons et même suicides !


Mais, même connaissant ces conclusions, les plus éminents analystes ont le plus grand mal à admettre que la taille idéale n'est pas forcément la plus énorme ! On trouve encore nombre de conseilleurs préconisant la concentration ou la centralisation et au moins le groupement comme solution, même pour des entrepreneurs ayant choisi la voie de l'agriculture "biologique" (mais existe-t-il une agriculture qui ne serait pas biologique ? Mécanique ou chimique peut-être ?), qui pourtant devrait être le fer de lance de la modernité !


Un autre exemple des centralisations de la campagne est celui des élevages intensifs de porcs ou de volailles. Peu importe que la terre ne parvienne pas à absorber et filtrer les déjections de cette forte concentration animale, on laisse tout cela partir à la mer où les élevages d'huitres sont contaminés et même détruits ! On néglige la pollution de l'air, des sols, de l'eau et la production de méthane, ce dangereux gaz à effet de serre, qui deviennent très préoccupants dans les régions d'élevage intensif de bovins aux Etats Unis par exemple, mais tout ceci préoccupe bien peu !


Il faut bien nourrir l'humanité, opposera-t-on à ce constat !


Il est bien dommage que pour nourrir l'humanité,

on aille inéluctablement vers sa destruction !


Cette centralisation des moyens de production

est-elle vraiment appropriée,

nécessaire, utile à l'humanité ?

Vaut-elle le prix que l'on doit payer ?

 

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28 février 2010 7 28 /02 /février /2010 21:53

L'architecture

 

Dans la course à la centralisation, les architectes commencent à comprendre l'erreur qu'ils ont communément commise depuis des décennies en construisant de grands ensembles de logements, même si ceux-ci étaient souvent équipés de services qui auraient dû permettre une certaine autonomie.

 

Dans ces immenses cités, la sensation de "ghetto" domine, quelque soit le niveau du confort proposé. De ce sentiment découle un ensemble de comportements absolument logiques et prévisibles. L'émergence de l'impression "d'apartheid" s'empare alors des habitants qui se persuadent que hors de leurs enceinte la vie est probablement bien plus avantageuse qu'au dedans. Ils se sentent alors parqués, ignorés, brimés, exploités par le reste du monde et s'organisent en conséquence !

 

Un autre problème de cette concentration d'habitations est l'emploi. Comment disposer d'une offre d'emplois à la mesure de la main d'œuvre ainsi centralisée ? La centralisation de l'habitat ne permettant pas l'installation de structures permettant l'emploi des habitants, ceux qui voudront résoudre l'équation devront recourir aux transports pour passer de la concentration de l'habitat à la centralisation de l'emploi. Et les voies de communication sont saturées d'habitants en quête de quelque emploi pour survivre.

 

Dans ce domaine également, on évoque souvent l'économie d'échelle comme prétexte à la concentration. Cette économie vaut-elle vraiment tout ce qu'elle implique comme inconvénients ? Des citoyens (ou consommateurs, comme on préfèrera les nommer) seront bien mieux disposés pour faire fonctionner l'économie et la vie sociale, s'ils sont plus disponibles et détendus. Certains prétendent que le stress peut être un bon catalyseur permettant de doper la productivité. C'est probablement vrai, mais certainement dépendant de la nature même du stress. Celui qui est subi dans les transports ou produit par la promiscuité permanente depuis l'habitat en passant par le travail et allant jusqu'aux loisirs, ne permet surement pas le moindre progrès !

 

Les architectes et les urbanistes sont aujourd'hui de plus en plus réservés sur la justification du schéma impliquant la centralisation de l'habitat. Les dimensions des ensembles d'habitation ont été sérieusement revues à la baisse. Mais, ce qui n'est pas résolu, c'est la communication entre les zones d'habitation, les zones de services et les zones d'emploi. Ainsi, il est intéressant de se poser la question de savoir quelle solution est la plus pertinente : Augmenter significativement les structures permettant le transport de masse depuis les concentrations d'habitations vers les concentrations d'activités ou répartir les habitants sur un canevas plus équilibré constitué d'équipements "hybrides" composés d'habitat, de services et d'emploi ?

 

Aucun logement ne devrait pouvoir être construit s'il n'existe pas l'emploi et les services nécessaires dans un rayon de 5 Km. Tout comme aucune industrie de devrait pouvoir s'installer si le logement de ses employés n'est pas possible à distance raisonnable. Cette option suppose que ces structures, tant d'habitation que de services et d'emploi soient relativement petites et réparties sur tout le territoire.

 

Pour réussir, au terme "centralisation" on opposera "répartition".

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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 20:33

L'école


Et que dire de cette école, de ce collège, de ce lycée construits pour accueillir 4 à 5000 élèves ?

Comment des enfants pourraient-ils s'y trouver à l'aise et bien traités ?

Comment un personnel même très expérimenté trouverait-il le moyen de considérer chaque étudiant comme le cas unique que chacun représente pourtant ?

Certes, il est probable que le nombre de cuisiniers employés pour préparer les immenses chaudrons des prétendus repas qui seront mis à disposition en guise de déjeuner seront moins nombreux que pour de multiples structures de plus petite taille, mais cette concentration vaut-elle une si modeste économie ?


Et puis, comme le nombre d'élèves par classe est de toute manière limité quel est l'intérêt de concentrer les classes en un même lieu jusqu'à atteindre des populations aussi importantes ?


Est-ce pour éviter de déplacer les professeurs ?


Dans ce cas si il est préférable d'obliger 4000 élèves à prendre des transports plutôt que 150 ou 200 profs je ne vois pas bien le bénéfice !


Est-ce pour faire l'économie de quelques directeurs ?


Là encore, il n'est pas certain que l'économie vaille le prix à payer. Car ce prix est très lourd ! Les enfants ne peuvent tous habiter à proximité de cette immense structure. Ainsi, plus de la moitié d'entre eux, sont contraints d'emprunter des transports pour se rendre aux cours avec tout ce que cela comporte comme fatigue, risques et frais.


Dans ces immenses structures, ils se trouvent en quelque sorte isolés par le nombre. Personne ne connait plus personne. La "désocialisation" se trouve patente. La promiscuité favorise le développement discret des comportements marginaux. Les "lois de la jungle" tendent à remplacer les règles de la société. Il résulte que les jeunes perdent tout repère et abandonnent les valeurs socioculturelles qu'ils devraient partager dès le plus jeune âge à la faveur de prétendus "comportement modernes" qui ne sont en fait que de faux-semblants inutiles et souvent même dangereux.


Voilà ce que ce mot anodin "centralisation"

peut avoir comme conséquences

que n'importe qui peut facilement identifier !

 

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  • DonQuichutte
  • Passionné de technologie, amoureux de culture et défenseur de la francophonie...
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